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FCIAT : Mission accomplie pour cette 44e édition

4 novembre 2025

par : Ricardo Jr Emmanuel

photo : Le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue a accueilli spectateurs et cinéastes du 25 au 30 octobre. (Crédit Photo : Le Citoyen — Ricardo Jr Emmanuel)

Du lancement officiel à la soirée de clôture avec le film Juste Xavier, réalisé par Stéphane Roy, la 44ᵉ édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue (FCIAT) a offert au public une semaine de projections et de rencontres avec les créateurs du cinéma québécois et international.

Une fois de plus, le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue a marqué les esprits. Les organisateurs dressent un bilan positif de cette édition, un 44ᵉ événement caractérisé par une programmation à la fois riche et de grande qualité.

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Après plusieurs jours de projections, de rencontres et d’échanges, le public a pu vivre le cinéma de l’intérieur. Que ce soit lors des séances de visionnement ou des discussions avec les producteurs, les participants ont découvert les coulisses du métier et approfondi leur compréhension des œuvres présentées. En effet, cette édition, qui s’est tenue du 25 au 30 octobre dernier, confirme la vitalité du festival et son rôle central dans la promotion du cinéma québécois et international en région.

Les lauréats du volet Espace court

Parallèlement à la programmation principale, le volet Espace court a également mis en lumière de jeunes talents prometteurs. Ce volet a récompensé plusieurs courts métrages pour leur créativité et leur originalité. Le Prix Festival d’humour émergent en Abitibi-Témiscamingue a été décerné à Last Night Stand, de Pierre-Luc Gosselin, tandis que le Prix Outpost a été remis à Le Punk de Natashquan, de Nicolas Lachapelle.

Le court métrage Platanero, de Juan Frank Hernandez, s’est vu attribuer le Prix Royal Photo, ainsi qu’une mention spéciale pour son impact global. Le public a également exprimé ses coups de cœur : Le Punk de Natashquan a remporté le Prix Télé-Québec, soulignant l’engouement des spectateurs. Enfin, le Prix Vital Distribution est allé à Ce qu’on laisse derrière, de Jean-Sébastien Hamel.

Ces distinctions mettent en lumière la vitalité et la diversité du cinéma émergent présenté au festival, tout en offrant aux jeunes talents une visibilité précieuse.

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Le public a pu échanger gratuitement avec les producteurs et réalisateurs de films autochtones, dont William Mazzoleni-Valin et Julie O’Bomsawin (Capitaine) ainsi que Nathalie Rankin et Roxanne Lauzon (Le courage de Sally), pour découvrir l’univers du cinéma autochtone. (Crédit Photo : Photo gracieuseté Louis Jalbert)

Un public conquis

Entre la diversité des projections, la qualité des performances et les échanges avec les créateurs, cette 44ᵉ édition a pleinement séduit son public. Les spectateurs ont salué la richesse de la programmation, ainsi que les initiatives qui rapprochent le festival de ses communautés locales.

Chaque festivalier a su y trouver son compte. Certains ont particulièrement apprécié le Film d’ouverture, Capitaine, qui a lancé le festival. D’autres ont été séduits par le brunch-conférence animé par Martin Guérin, ainsi que par les mini-brunchs, une initiative qui combine proximité et accessibilité et qui s’annonce déjà comme un rendez-vous incontournable des prochaines éditions.

D’autres spectateurs ont particulièrement aimé les différents courts métrages. « C’est toujours une belle occasion de découvrir des films qu’on ne verrait pas ailleurs », a confié une spectatrice à la sortie d’une projection mardi soir. D’autres ont souligné la chaleur de l’accueil et l’atmosphère unique qui font la réputation du festival depuis ses débuts.

Tout au long de la semaine, les projections se sont enchaînées dans une ambiance conviviale, célébrant le cinéma sous toutes ses formes. Le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue sera de retour l’automne prochain.

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Les festivaliers ont pu participer au brunch-conférence animé par Martin Guérin, un moment convivial. (Crédit Photo : Photo gracieuseté Louis Jalbert )

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